Vous courrez depuis
quelques mois, voire depuis quelques années, mais vous n’avez pas osé franchir
le pas de vous inscrire à un Marathon ?
La motivation
Il n’y a pas de
mystère : il faut en avoir envie !
Qu’elle quelle soit (défi
personnel, défi sportif…) elle doit être forte.
Assez forte pour résister
aux longues semaines de préparation, aux entraînements rigoureux et aux
privations nécessaires que l’épreuve demande.
L'objectif et sa préparation
De deux choses
l’une : soit vous optez pour une préparation encadrée (comme Xrun , UrbanRunning ou en club), soit vous choisissez de vous préparer seul (e). Ce second
choix vous demandera une motivation particulièrement forte, car sans personne
pour vous obliger à sortir, il est plus confortable de rester dans le canapé
devant Stade2 que d’aller cavaler sous la pluie !
Ainsi, donc si vous
choisissez de vous préparer seul (e), choisissez une prépa en fonction d’un
objectif qui vous parait réalisable.
=> Plus l'entrainement est dur, plus la course sera facile (enfin en principe !)
Mais qu’est ce qu’un objectif réalisable si on n’a jamais couru un
marathon ?
On est toujours à peu près certain de terminer un 10 kilomètres, alors qu'un marathon ....
Chaque marathon est une nouvelle aventure.
Chaque marathon est un nouveau défi.
Chaque marathon met à mal nos propres certitudes sur nos capacités, notre motivation, notre capacité à endurer la douleur.
Que ce soit en 5 heures pour les uns ou en 3 heures pour les autres, le choix de l'objectif cible est la première étape et certainement la plus importante.
Une fois l'objectif fixé, profitez des nombreuses préparations disponibles sur le net, et choisissez celle qui vous semble la plus adaptée : notre de semaines de préparation (6 à 12 en général) et nombre de sorties par semaines (3 à 5 dans la majorité des cas)
Respectez au mieux la préparation.
Dans la mesure du possible, ne faites pas sauter de séance : même si il pleut, si il fait froid ou que vous n'en avez pas envie : ALLEZ Y ! Vous serez encore plus fier(e) après !
Chaque séance a son importance : que ce soit les séances de VMA courte pour travailler la vitesse, ou les sorties longues pour habituer le corps à courir 2h15 et plus, chaque étape a sa raison d'être !
D'ailleurs, n'hésitez pas à aller tester votre VMA sur piste si vous en avez la possibilité (la VMA -et la FCM-sont les indicateurs que vous trouverez souvent dans les préparations)
Vous êtes maintenant quasiment prêt à vous mesurer à la distance mythique.
Pourquoi quasiment ? Car maintenant il faut aller courir et lire mon prochain article sur les conseils à suivre pour que la course se déroule sans accroc!
Ayez confiance en vous, car je suis certain que vous pouvez le faire !
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